Le Paris de Michel Audiard (2017)

 

Couv 4

 

Parigramme

127 pages

14.90 euros

sortie : 2 février 2017

lien sur le site de Parigramme

 

 

La Croix : "Michel Audiard dessinait, sarcasme en embuscade, le cadastre parigot d’un monde perdu dont ses films et ses livres sont le conservatoire."

Cinecomedies.com : "À travers les 128 pages de cet ouvrage en couleurs et papier glacé de haute tenue, le lecteur est invité à parcourir ruelles, rues, avenues et autres impasses de la capitale aux côtés du « P’tit Cycliste », comme Gabin surnommait le dialoguiste le plus célèbre du cinéma français. Connaissant le bonhomme comme sa poche, sinon mieux, Philippe Lombard a la bonne idée de laisser s’exprimer les protagonistes de cette vadrouille à Paname. Ce n’est pas un énième livre sur Audiard mais avec Audiard. (...) Pari lancé : tout fan d’Audiard qui se respecte s’empressera d’ajouter cet ouvrage à sa collection. À la fois très bien documenté et agréable à lire d’un bloc ou au hasard des thèmes ou des films évoqués, Le Paris de Michel Audiard est une façon singulière de découvrir ou d’approfondir les secrets cachés sous la casquette magique du « P’tit Cycliste »."

Télérama Sortir : "Dans un ouvrage original et passionnant, riche en anecdotes et en citations, Philippe Lombard noius invite à suivre les traces du célèbre dialoguiste dans le Paname de ses jeunes années, les décors familiers de ses films (les cafés, les commissariats, les hippodromes...) et les lieux fréquentés avec sa bande (Lino Ventura, Jean Carmet, Mireille Darc...)."

VSD : "Ce superbe bouquin explore, film par film, l'amour du dialoguiste pour les vieux quartiers de Paris."

Le Figaro Magazine : "Avis aux nombreux fans d'Audiard, cet album-là n'est pas un énième livre bas de gamme vite fait, mal fait capitalisant sur la popularité qui semble ne jamais décliner du dialoguiste merveilleux C'est un beau livre sur Audiard et Paris, avec un chapitrage parfait par thématiques géographiques (le XIVe arrondissement, l'Occupation, les hôtels, les Halles, Céline, les bistrots, bordels et commissariats), puis personnelles : Gabin, Blier, Simonin, Ventura, Fallet, Belmondo, etc."

L'Express : "Avec le livre de Philippe Lombard, on traverse le Paris selon Audiard, de son cher XIVe natal aux luxueux palaces de la rive droite, où le dialoguiste ciselait ses répliques. (...) Bref, une jouissive traversée de Paris pour à peine le prix de quelques Quinté+. "

L'Echo : "Très beau livre", "véritable coffre aux trésors", "cet ouvrage s’apprécie également pour son iconographie".

L'Obs : "Richement illustré, solidement documenté, ponctué de répliques ciselées qui accompagnent les zones de pèlerinage, cet album est une promenade évidente pour tout audiardien accompli. Pour les autres, c'est une marrade touristique et cinéphilique. Un livre obligatoire, quoi!"

Les Mauvaises Fréquentations : "Il existe de multiples manières de découvrir Paris, mais l’une des plus plaisantes est proposée par Philippe Lombard dans son récent ouvrage Le Paris de Michel Audiard . (...)  Les passionnés ne seront pas déçus, les autres découvriront un Paris en grande partie disparu : « toute une époque ! »"

Le Salon Littéraire (FAL) : "Qu’on aime ou qu’on n’aime pas Audiard, Le Paris de Michel Audiard vaut de toute façon par la manière dont, à travers son corpus géographique, il évoque, comme le promet sans mentir son sous-titre (qui reprend une réplique empruntée aux Tontons flingueurs), « toute une époque », en gros celle des années cinquante, soixante et soixante-dix. Le Paris passé ici en revue est celui des fictions, mais c’est aussi celui de la réalité, des salles de cinéma, des restaurants, des commissariats, des hippodromes, des Champs-Élysées, des maisons closes, des journaux encore imprimés sur du papier… Et c’est aussi, à travers la variété des témoignages cités et la pertinence et la richesse des illustrations, toute une histoire du cinéma français qui se dessine. Bernard Blier, Jean Gabin, Michel Serrault, Annie Girardot, Lino Ventura, Francis Blanche… Il y a décidément beaucoup de fantômes dans ces pages, mais la mélancolie qui les accompagne vient nous convaincre que l’agressivité des personnages qu’Audiard leur faisait jouer n’était souvent qu’une agressivité de façade."

 

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A lire aussi : mon livre sur Les Tontons flingueurs, mes articles sur Audiard à Cannes sur Cinecomedies et sur "100 000 dollars au soleil", "Les Tontons flingueurs", "L'Animal" et "Le Professionnel" sur Histoires de tournages. Sans oublier Schnock.

Sans oublier "Le Paris de François Truffaut", également chez Parigramme.

 

 

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